C’est la réalité quotidienne de millions de travailleuses et travailleurs qu’on appelle les « deskless ». Un mot un peu froid, un peu technique, pour désigner celles et ceux qui n’ont pas de poste fixe, pas d’écran attitré, pas de bureau assigné.
Ils ne travaillent pas devant un ordinateur, mais bien sur le terrain, directement dans le feu de l’action.
Ils construisent des routes, soignent des patients, posent des fondations, inspectent des réseaux, tiennent les murs pendant que d’autres tiennent des réunions.
Souvent, c’est plusieurs lieux dans une même semaine. Un jour ici, le lendemain ailleurs.
Ils se déplacent d’un milieu de travail à un autre, transportant avec eux leur expertise, leur engagement… mais rarement les outils de communication qui devraient les suivre.
Ce sont des métiers souvent physiques et exigeants, mais dont plusieurs industries tiennent moins compte lorsqu’on parle de communication, de vision ou de plan stratégique.
Une boîte courriel bien rangée
Un agenda Teams
Des formations faciles d’accès
Des mises à jour en temps réel
Des consignes qui changent rapidement, mais aucune plateforme pour les recevoir
Un fort sentiment d’appartenance, avec peu d’occasions de le partager
Une expertise terrain qui reste trop souvent en dehors des décisions
Sans eux, rien ne tourne. Rien ne roule. Rien ne s’érige. Rien ne fonctionne. Ils sont au cœur de nos services essentiels, de nos infrastructures, de notre quotidien. Mais tant qu’on continuera à concevoir des outils, des politiques et des cultures d’entreprise sans les consulter, on passera à côté d’informations et de ressources extrêmement pertinentes.
On les écoute. On s’assure de les intégrer dans nos réflexions. On leur donne la parole, autrement. On adapte nos formations, nos communications, nos systèmes pour qu’ils collent au réel.
C’est exactement pour ça qu’on a créé BRIX : une application pensée pour les équipes terrain "deskless", qui met leur savoir-faire en lumière, simplifie les échanges et renforce leur fierté d’appartenance.
Parce qu’aucun travailleur ne devrait être en marge de la culture de son entreprise.
Parce qu’on ne peut pas bâtir un monde solide sur des fondations invisibles.
Et qu’un travailleur sans bureau ne devrait jamais être un travailleur sans voix.